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  • lundi 13 janvier 2025

    Journal de bord 14/01/2025 La prise de nos nouveaux postes respectifs et week-end grands- parents.

    “ Tenez, dit l'avare : voici un calendrier neuf, et qu'il vous fasse toute l'année ! ”

    Jules Renard / Journal

    La première semaine de cette nouvelle année s'ouvre devant nous, marquée par l'essor de nos carrières respectives et les enjeux qui les entourent.

    Chloé vient de renouer avec son service au sein de la bijouterie, un univers où Lorenz aspire à une implication plus significative de sa part dans la direction, délaissant un peu les phases créatives. (Aïe !) Tous les soirs de cette semaine, nous avons échangé longuement avec Chloé sur les inquiétudes qui l’habitent, manifestations de ses angoisses intérieures. Elle confie ses luttes contre l'impulsivité de ses réactions émotionnelles, laissant transparaître une agitation vive face aux contrariétés. Elle doit s’imposer la discipline de maîtriser ses émotions pour transmettre des messages limpides, assurant ainsi leur juste interprétation. Ce qui lui semble évident, en vérité, n'est pas toujours partagé par ses collègues de travail. La patience et l’effort de compréhension s’imposent donc comme des nécessités pour éclairer autrui sur les nuances de chaque situation. Elle envisage de prendre contact avec Irène, une démarche qui, je le sais, lui apportera un réconfort indéniable. De surcroît, Lorenz lui propose d'entreprendre un stage en management pendant trois mois (février, mars, avril) : une promesse d'ouverture, bien qu'elle semble hésitante à retrouver l'atmosphère universitaire.

    Ce lundi 6 janvier 2025, j’ai eu l’honneur d’inaugurer mon premier jour de stage de l’année au sein de la pédopsychiatrie à la réputée Pitié Salpêtrière à Paris. Dans cet établissement chargé d’histoire, je me confronte aux méandres de la psyché humaine, à ses luttes inlassables et à ses vulnérabilités troublantes. C'est un milieu où le désespoir s'entrelace avec l'espoir, et je me tiens avec humilité face à ces réalités poignantes, assoiffées de compréhension et de savoir. Chaque rencontre et échange se révèlent être des résonances de la condition humaine, et je m’approprie ces leçons, porteuses d’avenir, pour ma future carrière.

    Je viens d’obtenir mes unités de valeur en neurologie et, fait réjouissant, j’ai reçu les éloges du professeur en chef du service, dont les mots bienveillants résonnent encore en moi. Il ne peut s’empêcher de m’interroger sur mes ambitions professionnelles, me poussant à affronter certaines facilités en neurologie et mon désir de poursuivre ma voie en pédiatrie. Il est certain que mon intérêt pour son service est fervent, mais la dimension pédiatrique m’envoûte particulièrement. Je ressens une gêne à l'idée de lui faire part de ma passion, comme si chaque mot risquait d'accoucher d'un poids insupportable. Pour moi, devenir pédiatre est bien plus qu'un simple rêve : c'est ma raison d'être, l'objet d'une aspiration qui m'accompagne depuis l'enfance. Renoncer à cette vocation m'est inconcevable. Pourtant, se dresser face à une figure éminente, une sommité en médecine, et lui avouer cette franche détermination n'est pas une mince affaire. Je me vois contrainte, malgré tout, à la nécessité d’une telle vérité.

    Ayant reçu silence radio de la part de Mathieu (notre agent immobilier), j'ai jugé bon de prendre l'initiative de le joindre. A l’heure actuelle, il semblerait que les biens correspondant à nos critères ne soient guère en vue. Pourtant, il évoque la possibilité d’un appartement conforme à nos attentes qu’il pourrait obtenir en avant-première dans un à deux mois. Hélas, le prix exigé par les propriétaires reste, pour l’heure, inconnu. Cette situation est une source d’inquiétude, tant d’incertitudes demeurent… Il ne nous reste qu’à espérer que les événements s’alignent positivement. Chloé propose que nous nous aventurions à mener nos propres investigations parallèlement, mais je demeure réticente à cette idée. Cela me semble une perte d'énergie et un gaspillage de temps précieux que je préfère réserver à mes révisions. Laissons encore un peu de temps à Mathieu, bien que la tension commence à monter.

    Comme vous avez pu le constater, depuis quelques articles, je porte un soin tout particulier à la rédaction de mes articles. Je ne puis vous décrire avec précision mon style, celui qui m'appartient, car il s'agit d'une quête perpétuelle d'amélioration, en espérant ne pas trop m'éloigner de ma voix véritable. Pendant mes pauses de mes révisions de médecine, je me perds, avec délice, dans les pages d’un dictionnaire. Oh, la langue française n'est pas facile ! Elle s'épanouit dans la diversité de ses mots, chacun renfermant un sens unique, une nuance délicate. En choisissant les termes avec une attention presque orthographique, j’aspire à tisser un texte qui, je l’espère, parviendra à vous séduire, c’est là mon vœu. Les formules comme les « il y a », ainsi que l’usage répétitif des verbes « avoir », « faire » et « être », à défaut d’être évincés, seront minimisés, car ils sont d’une banalité déconcertante, vides de toute substance. Je nourris l'espoir que le fruit de cette démarche vous ravira, que votre expérience de lecture sur notre blog se trouvera enrichie et que vous éprouverez un plaisir renouvelé. Et si, dans mon ardeur à la tâche, je m'investis avec toute la rigueur nécessaire, il se pourrait qu'un jour, je parvienne à atteindre une qualité de rédaction égale à celle d'une Française. Ce serait un idéal, un horizon vers lequel je tends, car, après tout, la plume est le reflet de l'âme, et je désire ardemment que ma voix trouve sa place dans cette vaste conversation.

    Revenons sur notre week-end à Nice…
    Illustration de cet article : le vieux Nice. Peinture de Chloé qui trône dans le salon des grands-parents de Chloé.

    Les grands-parents de Chloé, dans leur bienveillance manifeste, incarnent cette douceur que l'on chérit tant dans les relations humaines. Avant même que les premiers rayons du jour ne percent nos volets, son grand-père, au lieu de s'adonner au confort d'un sommeil paisible, s'est rendu à la boulangerie. Il y a déniché pour nous de délicieuses viennoiseries, en particulier des pains au chocolat qui me ravissent, témoignant ainsi de sa volonté de séduire celle qui partage le cœur de sa petite-fille.

    Le visage de ma chérie, illuminé par un sourire complice, révélait une intention profonde : s'imposer dans l'univers de celle qui pourrait, sans hésitation, explorer les méandres de son âme. Au fil de ce week-end, nous avons été choyés comme des êtres privilégiés, enveloppés dans une douceur familière. Le ris de veau et les œufs à la neige, préparés avec soin par la grand-mère de Chloé, n'étaient pas de simples plats, mais ses mets préférés, véritables métaphores d'amour et de dévotion, fruits d'un savoir-faire empreint de tendresse.

    Chloé, rayonnante, a également pris plaisir à partager avec nous des souvenirs précieux de sa jeunesse à Nice, évoquant des aventures au bord de la mer et des après-midis ensoleillés passés avec ses copines et copains. Ses yeux brillaient en racontant ces moments, nous entraînant dans la magie de ses souvenirs, créant un instant suspendu où le passé et le présent se rejoignent.

    Ainsi, ces instants partagés, chargés d’une délicatesse infinie, nous rappellent le lien indéfectible qui unit les générations, où chaque geste se fait une déclaration d’amour silencieuse, transcendant le simple registre du quotidien.

    Ce week-end, nous partons à Hossegor… Cette échappatoire qui nous attend, où câlins et tendres bisous s’entremêleront dans un doux ballet d’affection. Ce week-end, chez mes grands-parents, nous trouverons un refuge où le temps semble s'étirer, un petit coin de paradis qui doit tant à la beauté de la nature, que ce soit sur la place des Landes ou sur les plages dorées qui bordent la mer, où nos pas nous porteront au gré des vagues.
    A l'instar des grands-parents de Chloé, mes aïeux, malgré le poids des années qui pèse sur leurs épaules (92 printemps), ont fait preuve de sagesse en déclinant notre invitation à célébrer notre union à Paris. La fatigue est un maître impitoyable, mais je ne peux m’empêcher d’éprouver une douceur à l’idée qu’ils étaient tous présents lors de notre PACS, unissant nos cœurs dans une célébration intime et précieuse.

    Nous emprunterons l’avion, ce moyen rapide et sûr, puis nous louerons une voiture pour faire le trajet de Biarritz à Hossegor (une cinquantaine de kilomètres) pour la villa, le cœur léger à l’idée de les retrouver. Ensemble, nous fêterons notre mariage et cette nouvelle année qui s’annonce, tissée d’espoir et de joie commune.

    A l’opposé de Chloé, je n’ai pas d’intenses souvenirs d’enfance gravés dans le sable d’Hossegor ; le temps que j’ai passé avec eux a été trop fugace. Pourtant, au cœur de cette absence, une tendresse et une affection brillent comme des étoiles dans ma mémoire. Leur prévenance, leur douceur et leur réserve m’évoquent le reflet de mes racines. Je me sens particulièrement proche de ma grand-mère, Maître(sse) de Conférences en philosophie, dont l’esprit aiguisé enrichit chacune de nos rencontres. J'apprécie son calme et sa réflexion ; nos discussions nourries de réflexions culturelles profondes deviennent des moments précieux d'échange, où la pensée s'élève et danse.

    Mon grand-père, ingénieur naval passionné par la thermo-hydraulique et les simulations, éveille en moi une curiosité persistante. J’ai souvent du mal à pénétrer cet univers technique, mais je reste fascinée par cette passion qui lui est propre. J'étais complètement fascinée par les innombrables maquettes qu'il façonnait de ses propres mains, chacune d'elles étant un hommage à l'hydraulique.

    Je n’oublierai jamais la douce tendresse que tous deux exprimaient envers Zabeth, un geste innocent qui illuminait mes yeux d’enfant et a toujours trouvé sa place dans mon cœur. Cela me remplissait d'une immense fierté de voir Zabeth être valorisée et respectée comme une véritable intellectuelle. (sourire tendre) Je grandis, le temps me façonne inéluctablement, mais lorsque mes yeux se posent sur Zabeth, je demeure cette petite fille, empreinte de fierté devant sa mère. Les années passent, mais l'admiration et le lien qui nous unissent transcendent cette course inexorable du temps. Dans cette relation, je retrouve la force de l'enfance, un reflet de tendresse et de respect qui défie la mélancolie du vieillissement. C'est une danse entre passé et présent, où, malgré les strates de ma vie, je suis toujours, à un certain niveau, cette enfant émerveillée.

    Ces week-ends, tout en intimité, nous devrons les chérir, car ils seront sans doute parmi les derniers avant que je ne plonge dans l’intensité de mes révisions finales. A ce stade de mes études, il serait imprudent de trébucher. Réussir ce grand oral qui approche devient primordial, un défi à relever, une ascension à accomplir. La vie se tisse ainsi, entre l’éclat des souvenirs et le poids des attentes… Quelles réflexions cette période suscite-t-elle en vous ?

    A vous tous, je vous souhaite une excellente semaine.

    A Bientôt,
    Chlo & Til 

    20 commentaires:

    1. Anonyme1/19/2025

      Bonjour Til' & Chlo,

      Quel plaisir de vous lire à chaque fois que d'aventures et d'expériences déjà pour vos jeunes âges.
      Si Chloé a besoin de conseil en management, je peut lui proposé de la venir en aide. Le management est tout un art où il y a un fossé véritable entre la théorie et la pratique, je me pose la question parfois si c'est inné m^me si il y a à la base une technicité. En terme de verticalité tout comme dans l'horizontalité, il s'agit en premier lieu d'une gagne de la confiance de tous et apporté la valeur ajoutée pour que tous se sente bien en team et dans le work, la mise en valeur de chacun ainsi que la rigueur et la vigilance, le tout est de trouvé le bel équilibre.
      Et encore félicitation pour la Salpetrière Til', c'est une belle ligne qui seras inscrit sur ton CV et également une belle expérience à vivre bien que je concède que ce n'est pas un métier facile, tu as beaucoup de courage.
      Je souhaite également faire part des mes meilleurs vœux à la communauté, en cette nouvelle année 2025, je vous souhaite le meilleur et bien plus encore: Santé, bonheur, prospérité, réussite et félicité. Des éclats de rire à n'en plus finir auprès de vos familles, amours, amis, proches, connaissances, collègues et beaucoup de joie, le plaisir de vivre ce qui se doit d'être vécu et pour tous, beaucoup d'amour.
      Bien à Vous
      Til' & Chlo, on vous embrasse. Sophana et Léon.

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      1. Arnaud1/20/2025

        Je t’adresse également mes meilleurs vœux Sophana.
        C’est vrai que l’évolution de carrière de Til et Chlo va à la vitesse d’un avion de chasse, c’est fou.
        Bonne semaine.

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      2. Coucou Sophana,

        Je vous remercie tous pour vos vœux, que je vous renvoie avec une joie authentique, comme un écho de solidarité.

        Jusqu’à présent, ma gestion du temps, cette danse effrénée entre les obligations et les désirs, s’éclairait de couleurs vives. Un agenda paré de teintes éclatantes révélait mes engagements, offrant un semblant d’ordre dans le chaos du quotidien. Cependant, aujourd’hui, je me trouve confrontée à une impasse, à une limite infranchissable de ce système. Quand on est surbooké on est surbooké !

        En ce qui concerne Chloé et son cheminement dans le management, je propose que nous lui accordions le temps nécessaire pour appréhender les subtilités de cette responsabilité, avec l’appui précieux d’Irène, cette psychiatre, témoin bienveillant et éclairé de son parcours. Vos suggestions, chères à mon cœur, demeurent gravées dans notre esprit et influencent nos décisions, telles celles que tu as formulées ou même celles de Benedikte. Accordons-lui l’espace pour respirer et s’ancrer dans ce nouveau terrain à son rythme.

        Quant à moi, pour la recherche d’un poste de pédiatre, le CV importe peu. J’ai déjà goûté à la chaleur humaine qui émane de cette équipe si soudée, où l’individu et son essence sont placés au-dessus de tout.

        Je ferai mention de ton fils dans le prochain écrit que je prépare.

        Bonne semaine et à bientôt.

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    2. Arnaud1/19/2025

      Hello,
      C'est vraiment un privilège qui est offert par Lorenz à Chlo avec cette formation de 3 mois. Je peux évidemment comprendre l'appréhension mais pour moi, il n'y a aucune hésitation à avoir.
      Beaucoup de personnes n'ont pas l'occasion (souvent financière) de faire de longues études (dont moi-même), il ne faut pas l'oublier même si on ne s'en rend pas forcément compte.
      La Pitié Salpêtrière c'est la classe, une nouvelle expérience en or pour toi Til.
      Bon Matthieu bouge toi !!!! Non je plaisante la recherche doit être réellement délicate. Je croise les doigts pour vous.
      Les moments avec la famille que l'on aime sont précieux et ont une valeur inestimable et Zabeth a vraiment été parfaite car elle ne t'a pas formatée, elle a su faire les choses à sa manière malgré une pression sans doute gigantesque. Elle a toute mon estime.
      De passage express à Lyon, je suis allé à la messe (c'est une rareté lol) et ... j'ai discuté avec Jo de vous, de Romain, de Bach ... un moment bien sympathique.
      Chlo, n'use pas de tes talents en boxe sur tes collègues lol et Til ne soit pas trop dure avec toi même, tu réussiras et tu n'as rien à prouver à personne.
      Grosses bises.
      A bientôt.

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      1. Coucou Arnaud,

        Il est indéniable que tu as habilement mis en lumière un aspect crucial concernant le financement des cours de management que Chloé s'apprête à suivre. Bien que son entourage, ses parents, ou aujourd'hui son épouse (moi)  auraient pu envisager un soutien financier, cette aide n’aurait été envisageable qu’à condition qu’un désir émerge de Chloé elle-même. Il est juste et pertinent de rappeler, comme tu le soulignes si justement, qu’aujourd’hui encore, sans ressources financières, l’accès à une éducation de qualité se révèle ardu. Les aspirations et les parcours des étudiants sont inexorablement influencés par leur milieu social et économique. Quelle ignominie, en ce XXIe siècle, de constater que ces inégalités perdurent !

        Le plus précieux don que Lorenz offre à Chloé réside dans cette invitation à transcender ses limites, à embrasser de nouveaux défis professionnels qui l’appellent. Il agit véritablement comme un catalyseur pour son avenir, un avenir qui s’annonce de plus en plus vaste et prometteur. Mais au-delà du coût en lui-même, il convient également de considérer le temps investi ainsi que la dynamique d’une équipe engagée à adapter ces enseignements en temps réel, une bienveillance inestimable que son patron lui accorde.

        Lorenz est donc dans une recherche constante de développement de l’engagement de ses collaborateurs. Sa relation avec chaque employé se caractérise par une santé relationnelle exemplaire, offrant des perspectives d’évolution de carrière, de nouveaux apprentissages enrichissants et un avancement de statut bien mérité. Une très belle personne, véritablement dévouée à l’épanouissement de ceux qui l’entourent.

        Quant à Zabeth, il est indéniable qu’elle est une femme d’exception. Ce qui m’impressionne le plus, c’est qu’en ces instants cruciaux, souvent marqués par l’incertitude, où le chemin s’embrume et où l’on peine à discerner l’issue, elle se tenait là, sûre et résolue. Tout au long de mon existence, au gré de mon éducation, Zabeth a dû faire des choix, naviguant avec sagesse et bravoure, confrontée à ce défi immense : façonner en moi une femme respectable. Cette mission, empreinte de délicatesse et de profond engagement, elle l’a portée avec tant de grâce. A travers ses décisions, elle m’a guidée, comme une étoile polaire dans l’obscurité, infusant en moi les valeurs essentielles qui font de moi ce que je suis aujourd’hui. Oui.. Elle est humaine, elle ne sait pas faire de miracle. Lol

        Bonne semaine et à Bientôt.

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    3. Anonyme1/20/2025

      Bonne année à toute la commu !
      Je suis contente de ne pas être la première à poster car fatiguée. J'aime les couleurs du tableau de Chloé, il est gai. Comme Romain, j'ai pas mal de boulot en ce moment. Je ne vais pas revenir sur le mariage, c'était parfait, mais on a été privés de deux meringues ! Comme Arnaud, j'ai vraiment aimé ma rencontre avec Jo, qui est non seulement un artiste, mais aussi super sympa et plein d'humour. Les moments en famille, c'est vraiment des instants de bonheur, même si parfois, ça peut être un peu tendu !
      Sophana, doit avoir raison, il y a sûrement une différence entre la théorie et la pratique, mais connaître les bases du management pour diriger une équipe, ça semble essentiel, non ? Qu'est-ce que notre Til en pense ?
      Passez tous une bonne semaine. Pamplemousse rose !

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      1. Arnaud1/20/2025

        Salut Pamplemousse rose, bon courage pour le travail et bonne semaine à toi. Jo est top 👍
        Et il est aussi courageux car il ne fait vraiment pas chaud à Fourvière.

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      2. Coucou la belle,
        Il est toujours délicat d'exprimer son opinion sur un sujet qui échappe à notre expertise. J’ai tenté, avec des mots hésitants, d’évoquer l’évolution de la carrière de Chloé, mais l’exposé de mes pensées reste fragile, empreint de doutes. Quant au tableau, hélas, je crains qu'il te soit impossible de l'obtenir. Les grands-parents de Chloé y sont indéfectiblement attachés, comme à la prunelle de leurs yeux, préservant cette œuvre non seulement comme un simple objet, mais comme un vestige de leur histoire, une part de leur âme qui danse avec leurs souvenirs les plus chers. Nous nous voyons Jeudi bisesss

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      3. Anonyme1/21/2025

        Salut Arnaud,
        je te souhaite également une excellente année.
        Jo est l'une de ces personnes qui séduisent tout le monde grâce à son attitude, ses compétences et ses qualités. Il réussit à établir un lien et à nous charmer (en tout cas la plupart d'entre nous) dès le premier instant, sans effort apparent. Ce qui me frappe chez lui, c'est sa capacité à faire une première impression positive et à la conserver dans le temps, ce qui est assez rare. Je fais aussi la promotion de Jo, même si pour son séjour à Paris, il a très bien réussi financièrement. Je pense que nous lui avons toutes offert une belle somme, et l'enveloppe remise par les parents de Til et de Chloé, ainsi que nos deux mariées, doit être très appréciable.
        Merci pour ta contribution au blog, j'apprécie beaucoup tes commentaires. Pamplemousse rose

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    4. Anonyme1/20/2025

      Je dois laisser un petit mot, vu que tous les blogueurs stars ont déjà partagé leur avis. Pamplemousse rose a tout dit ! Le mariage était top, et c'est vrai que Jo a un super sens de l'humour. Pour gérer ma boîte, j'ai recruté deux pros diplômés pour diriger mes équipes et obtenir des résultats qui me conviennent. Ça coûte un peu, mais ça en vaut la peine. Arnaud a raison : sans argent, pas de grandes études, donc pas de diplômes prestigieux avec tout ce que ça implique. Chloé a de la chance d'avoir ces cours offerts par son patron, même si elle devra adapter par la suite ses connaissances sur le terrain. Plutôt que de connaître l'avis de Til, j'aimerais vraiment avoir celui de Bénédicte, car elle est hyper qualifiée sur le sujet: diplômée HEC Paris. Elle gère entre 45 000 et 50 000 employés. A côté, ma boite est ridicule. Bénédicte est vraiment une personne adorable, et j'ai remarqué lors de l'apéritif que Til, Bénédicte, Pamplemousse rose et Jo s'entendent à merveille ! J'ai même vu Til rire aux éclats avec eux. J'ai essayé de suivre la conversation, mais c'est compliqué, je ne suis qu'un petit ingénieur sans grand talent, juste quelqu'un qui a eu la bonne idée au bon moment. Ma culture générale laisse à désirer. J'ai tenté de participer, mais quand ils ont commencé à discuter du "Connais-toi toi-même", la célèbre formule de Socrate, j'étais un peu perdu. Quand Jo a mentionné la maïeutique, je ne connaissais pas le terme, après dix minutes de recherche pour l’écrire et même en lisant la définition, je ne comprends rien, MDR.J'ai ressenti l'appel, non pas de la forêt, mais du bar, où les copines vendeuses de Chloé étaient plus à ma portée. Ce qui m'a fait rire, c'est celles (une ou deux) qui essayaient de se la raconter ! En comparant les proches de Til et le groupe de filles avec leurs amis ou leur famille, on ne va pas se mentir, elles viennent toutes du même milieu, toutes poursuivent des études ou occupent des postes importants, et l'autre qui est vendeuse me regarde de haut ! LOL. Chloé est même venue à ma rescousse, un peu gênée, pour dire à la meuf que ma société n'est pas si petite que ça. Lors de notre retour à Lyon en TGV avec Jo, nous étions tous les deux un peu éméchés et on a ri comme des adolescents.Bonne semaine à tous. L'anonyme Romain.

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      1. Anonyme1/20/2025

        Merci Romain, bonne semaine à toi également !
        La fin de ton post m’a fait bien rire 🤣
        Vraiment sympa Jo, une bonne personne et un humour très agréable.
        Si ceux qui liront ce post et qui passent sur Lyon Fourvière, peuvent donner à Jo. Ça n’est pas déductible des impôts mais c’est beaucoup mieux, c’est utile à une personne qui vaut le coup.

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      2. Arnaud1/20/2025

        Message d’Arnaud, j’ai oublié de mettre le nom.

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      3. Coucou mon beau,

        Il est des plus amusants de te lire, car voilà que Benedikte confie avoir été impressionnée par toi. Elle ne s’arrête pas là : elle m’avoue également qu’une soirée en compagnie de Romain et Jo la tente au plus haut point. Chloé et moi-même nourrissons, pour ces deux-là, une affection sincère et profonde. Il semble donc que l’organisation d’une soirée s’impose, dès que nos emplois du temps nous le permettront… Je ne peux m’empêcher de rire à cette idée !

        Il est vrai que Jo, derrière son air désinvolte, cache un véritable esprit d’intellectuel. Ce qui le rend si attachant, c’est sa faculté à naviguer avec aisance entre la légèreté et la profondeur, tout en cultivant ce goût pour l'humour. Il a réussi à me faire rire à maintes reprises, un exploit que je ne rencontre que rarement, je l’admets. Voilà un camarade dont les échanges sont aussi précieux que plaisants !

        Je ne peux m’empêcher d’éclater de rire en apprenant que certaines filles ont tenté de te toiser et se donner un petit air devant toi. Chloé, avec sa franchise si caractéristique, me raconte que, forte de ta gentillesse innée, tu as laissé couler ses frasques sans t’en offusquer. Oui, elle a dû intervenir, comme une chevalière protégeant son camarade, face à ces manigances. C’est toujours fascinant de voir comment une certaine élégance d’esprit peut déranger, n’est-ce pas ? Ta nonchalance n’en devient que plus admirable, et je suis certaine que ces petites comédies ne te touchent guère. Pffff Tu es vraiment un amour !
        Bisesss et bonne semaine.

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      4. Anonyme1/21/2025

        Salut Arnaud,

        Ouais, c'était vraiment sympa, on a bien rigolé ! J'avais mes chaussures à bascule, donc c'était un peu galère dans le train, ou si vous préférez, j'avais chaud aux plumes. Mais comme je suis malin, j'avais un pote aveugle pour m'aider à descendre. C'est ça, le travail d'équipe : je l'ai aidé pour le mariage et lui me ramène ! Évite d'envoyer des mails à Til en mode insultes, je rigole… Alors, la prochaine fois, tu te joins à nous ? L' Anonyme Romain

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      5. Arnaud1/21/2025

        Ah oui Jo ne m'avait pas précisé tout ça ! lol
        Mais je sais que vous avez testé les breuvages, ça oui !
        Oui si quelque chose se fait à Lyon un jour, n'hésitez pas à me le dire, je prendrai mon Tgv "inoui" préféré Toulouse Matabiau Lyon Part-Dieu si je suis disponible.
        Tu as de la chance d'habiter cette ville que j'apprécie beaucoup. J'aimerais bien posséder un appartement avec vue sur la Tête d'Or pour pouvoir aller faire mon footing. C'est pourquoi, je compte bien me réincarner en chat et ainsi pouvoir économiser durant mes 7 vies afin de parvenir à cet objectif lol

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      6. Anonyme1/24/2025

        Salut Arnaud,
        Le jour où tu fais un tour à Fourvière, essaie de te caler à l'heure de son repas vers 12h30. Tu ne le regretteras pas, ce type est vraiment le gars le plus drôle que je connaisse. Pendant l'apéro, après les deux mariées, tout le monde s'est précipité pour discuter avec lui, et à chaque fois, c'était des éclats de rire. Les filles lui faisaient toutes des bises et lui filaient leur numéro, un vrai charmeur notre Jo, alors qu'il ne demandait rien, le pire ! Quand on est passés à table, tout le monde voulait être à ses côtés. Elisabeth était à sa gauche, et en plus, il parle un anglais de fou, le gars a vécu à New -York ! Moi, j'étais à sa droite et pamplemousse rose et Marion au pseudo John Doeuf en face de lui. Petite anecdote pendant le repas : à un moment, j'ai lâché un petit pet, rien de bien méchant, mais Jo l'a entendu et m'a lancé : « Tiens, t'as les vertèbres qui craquent ! » Je me marre et je lui réponds : « Oui !» un peu gêné tout de même. Sur le chemin du retour, alors qu'on approchait de Lyon, Jo me dit : « Tu devrais pas laisser ça comme ça, va voir un toubib. » Je lui demande de quoi il me parle, et il me répond : « T'es le seul gars que je connaisse que, lorsque ses vertèbres craquent, ça pue ! » J'ai éclaté de rire, ça a fait ma soirée et même plus ! A côté de ça, le mec parle lettres avec Elisabeth, philo avec d'autres, il emploie des mots que t'as même pas idée de leur existence, à part ça, tout va bien ! Lol Il a fait aussi un truc pendant le repas où Til lui a répondu du tac au tac et vient lui faire une bise. Je me suis dit : « Super la répartie… chapeau !» Et là, Elisabeth sourit et me dit: « Non, c'est du Alfred de Musset.» Et là, t'as l'air du ravi de la crèche, tu sais, celui qu'a l'air d'un con et qui sourit sans savoir pourquoi ! Enfin, si, j'aurais dû fermer ma bouche ! LOL L’ Anonyme Romain

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      7. Anonyme1/24/2025

        Ah, cher ami, quel ravissement d’évoquer ce mariage au firmament d’étoiles brillantes ! De la mairie à l’office religieux, en passant par le festin, tout fut une célébration de perfection. Quelle joie d’avoir surpris nos deux mariées par l’ingéniosité du groupe des filles, sans omettre le geste de noblesse du patron de Chloé, qui ferma sa bijouterie afin que son personnel puisse partager ce moment précieux.

        Je rends hommage à Romain qui, avec talent, a offert deux magnifiques bouquets de roses rouges et nous a amené Jo parmi nous. Sa prestation à l’accordéon ne m’a pas laissée indifférente ; quel charme et quelle musicalité ! Qui aurait cru qu’un jour je serais sensible à cet instrument ? Et quel verbe éloquent, en vérité ! Il s'exprime en américain avec un tel brio qu’il porte en lui la sagesse de ces conférences en musicologie, lorsqu'il vivait à New-York.

        La petite anecdote de la flatulence, que je n'avais point suivie, me fit sourire en découvrant votre récit. Jo possède, c'est vrai, un humour aiguisé et fort plaisant. A propos de son échange avec Til, lors de l'attente de la splendide pièce montée, comment ne pas admirer sa verve ? Il proféra avec sagacité que « tous les hommes sont menteurs, inconstants, faux, bavards, hypocrites, orgueilleux ou lâches, méprisables et sensuels ».

        Til, dans un élan tout aussi astucieux, répliqua : « Toutes les femmes sont perfides, artificieuses, vaniteuses, curieuses et dépravées. »

        Jo a voulu terminer la tirade : « Le monde n’est qu’un égout sans fond où les phoques les plus informes rampent et se tordent sur des montagnes de fange ; mais il y a au monde une chose sainte et sublime, c’est l’union de deux de ces êtres si imparfaits et si affreux. On est souvent trompé en amour, souvent blessé et souvent malheureux ; mais on aime, et quand on est sur le bord de sa tombe, on se retourne pour regarder en arrière et on se dit : j’ai souffert souvent, je me suis trompé quelquefois, mais j’ai aimé. »

        Ils conclurent la tirade à l'unisson : « C'est moi qui ai vécu, et non un être factice conçu par l’orgueil et l’ennui. » Emue jusqu’aux larmes, Til d'un geste tendre déposa une caresse et un doux bisou sur la joue de Jo.

        Honnêtement, je ne m'attendais pas à entendre du Alfred de Musset durant l'un des plus grands évènements de ma vie ; chapeau à eux deux ! Car oui cela est la tirade de Perdican dans : On ne badine pas avec l’amour (Acte 2, Scène 5) et moi aussi j'étais en larme.

        Pour conclure, je confesserai avoir également (comme toutes les autres filles) laissé mon numéro, que dis-je, mon cœur, pour accueillir avec joie cet homme exceptionnel lorsqu’il passera par New-York. Ah, comme il est doux de s’abandonner à la beauté d’un être si aimable et sincère !

        Elisabeth, ( il me semble que vous me désignez plutôt sous le doux diminutif de Zabeth).

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    5. Anonyme1/25/2025

      Salut la bande, 
      Quel commentaire éblouissant de Zabeth !
      Franchement, pas une virgule à retoucher. On comprend d'où Til a hérité son talent, mais je dois dire que l'écriture d'Elisabeth a une classe folle ! Elle nous balance une vraie leçon de français, c'est du lourd ! 

      MDR Romain et Arnaud, vos échanges sont aussi hilarants, chacun dans votre style unique. Ça m'a vraiment fait rire aux larmes. Dis Romain, à quand une soirée cassoulet ?

      Eh oui, Jo est un vrai rayon de soleil, super sympa et toujours drôle ! Je pensais être la seule à avoir remarqué à quel point il jongle avec les gens et les sujets comme un pro de la com !

      Nooon, je ne suis pas comme les autres, je n'ai pas filé mon téléphone, juste mon 06 ! Oui d'accord, je suis une femme banale et alors ?

      Bises les garçons. Pamplemousse rose.

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    6. Coucou Romain,
      Oui, Romain, ce fut un moment marquant dans le parcours de mon mariage. Il est indéniable que Jo a su briller d’un éclat particulier à cet instant-là. J’ai une profonde admiration pour Alfred de Musset, dont les mots résonnent en moi avec une intensité rare.

      Et non, tu ne parais pas idiot ; chacun de nous a ses centres d’intérêt, ses passions qui nourrissent notre existence.

      Il est intéressant de noter que de nombreuses études attestent que les questions qui éveillent notre curiosité laissent une empreinte durable dans notre mémoire. Ainsi, Jo, était à deux doigts de nous voler la vedette. Il a indéniablement marqué notre mariage. Un témoin vivant de cette journée, une présence qui fait désormais partie intégrante de notre récit commun.

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    7. Pour répondre à Arnaud...
      Il est difficile de ne pas sourire en observant Jo et Romain vouloir partir de mon mariage. Tous deux étaient dans un état d'euphorie si palpable qu'ils en deviendraient contagieux. Romain, en particulier, semblait naviguer sur des flots de gaieté, tel un bateau à voile pris dans un vent de folie, prêt à s'élancer vers des horizons inconnus ! Face à cette tempête joyeuse, j'ai décidé de devenir leur héroïne du jour en leur offrant le taxi jusqu'à la gare, histoire de m'assurer qu'ils ne vont pas s'égariez pas dans les méandres de cette réalité où les gares, parfois, jouent à cache-cache avec les voyageurs distraits.

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